Guillaume est né à Thiais, en région parisienne, il y a 25 ans.Il commence à peindre vers l’âge de 15 ans et fréquente les musées et les expositions parisiennes.

Il suit des cours de peinture, dans l’atelier d’Alain ROSENBACH, puis dans celui de Daniel MOSKOVITZ à Choisy le Roy.

 Il fait sa première exposition à Orléans, en Avril/Mai 2004, au Café l’Atelier qui accueille de jeunes artistes.

Il expose ensuite à Bois Colombes, en Décembre 2004, à la Galerie Expression, en Mars 2005 au Salon Régional d’Ouchamps, en Octobre 2005, au Salon de St Laurent Lolmie (46) où il remporte le Prix Horizon Jeunesse.Ses peintures ont été exposées pendant 1 an, à titre permanent à la Galerie Claire DE VILLARET, Rue Blainville à Paris 5è.
  « Ma peinture est comme une histoire, elle évolue.

Je ne conçois pas de m’arrêter à un style que je pourrais exploiter. Chaque nouveau tableau est différent des précédents.

Je peins sur toutes sortes de supports et de matériaux. J’emploie surtout l’acrylique, un peu l’huile, le pastel, l’aquarelle, la gouache et l’encre de Chine.

Dans mon atelier de Choisy le Roi, j’exploite diverses techniques ;j’aime travailler sur des formats différents, mais surtout sur les grands formats.

«  La précision du représenté, du peint, fait que l’on peut donner une exacte description presque géométrique du tableau, dont l’ensemble des images déclenche un processus de rêve chez le spectateur, avec un point de départ presque identique pour tous, car « programmé » par la structure même de la peinture.

Ce processus reste proche de celui du conte, récit évoluant avec fort peu d’invariants dans le temps comme dans l’espace et qui, étrangement, nous charme toujours de la même façon depuis des millénaires. »

BROSSIER Emmanuel

77, rue des Peupliers
41200 Villefranche sur Cher
emmanuel.brossier41@orange.fr

Je trouve ainsi intéressant d’ajouter à la lecture tridimensionnelle de l’oeuvre, une lecture de surface,à la condition bien sûr qu’elle apporte quelque chose à l’ensemble. Plastiquement, mon travail repose sur la représentation humaine, le plus souvent fragmentaire (visage,mains..)

J’ai depuis peu entamé une série de têtes de clowns, non par intérêt pour le sujet, mais parce qu’elles me semblaient pouvoir se prêter plus facilement aux déformations, qu’un visage plus conventionnel.

De plus, le clown est un personnage ambigu dont on ne sait jamais où finit la réalité et où commencent le maquillage et le jeu.   
 Aliaga

7 Rue Pinpeneau, 41350 Vineuil
aliagog@wanadoo.fr